de Hiroshi Teshigahara
Incipit qui donne le ton : univers qui se déroule sur un autre plan que la réalité, comme des pans successifs de perception, film comme sculpture, morceau d’objets accumulés, fragments enchaînés.
Il s’agit d’un conte moral, mais l’énonciation nous touche plus que l’énoncé. Cette manière si romantique (« je suis l’autre ») de rendre tout bizarre, d’opacifier la réalité et les relations humaines.
Un bar allemand (quel passé ?) et une chanteuse japonaise qui chante en allemand. Quelque chose comme la nouvelle vague allemande ici ?